Industrie

Le Kazakhstan a sélectionné le groupe étatique russe Rosatom pour diriger une coentreprise internationale en vue de la construction de la première centrale nucléaire dans ce pays d’Asie centrale. 

Meta et Constellation Energy viennent de passer un accord portant sur la fourniture d’électricité pour une durée de vingt ans, assurant ainsi l’exploitation à long terme du Clinton Clean Energy Center de Constellation. Ce partenariat s’inscrit dans le programme d’investissement de Meta dans le développement des capacités nucléaires sur de nouveaux sites aux États-Unis.

Enel, Ansaldo Energia et Leonardo ont fondé Nuclitalia, une nouvelle entreprise chargée d’étudier les technologies avancées et d’analyser les chances sur le marché ainsi que la faisabilité de l'énergie nucléaire en Italie. Au cours de la première phase, l'accent sera mis sur les petits réacteurs modulaires refroidis à l’eau (SMR).

L’exploitante Kernkraftwerk Gösgen-Däniken AG (KKG) a chargé Framatome de lui fournir du combustible et les services associés pour la centrale nucléaire de Gösgen.

Le Département américain de l’énergie (DOE) a relancé la procédure de candidatures permettant d’obtenir des subventions d’un montant total de 900 millions de dollars afin de soutenir le déploiement de petits réacteurs modulaires (SMR) aux États-Unis. Cette nouvelle procédure est davantage adaptée au programme du président Trump.

Le gouvernement français a conclu un contrat stratégique avec l’industrie nucléaire. Cette signature met en œuvre concrètement l’objectif politique de retour du nucléaire pour garantir la sécurité de l’approvisionnement électrique et renforcer la compétitivité du pays.

Emirates Nuclear Energy Company (Enec) et GE Vernova Hitachi Nuclear Energy (GVH) ont signé une déclaration d’intention par laquelle elles souhaitent utiliser le SMR BWRX-300 de GVH au niveau international.

Le groupe étatique russe Rosatom a coulé une barre d’acier de 205 tonnes dans le cadre de la construction de la première centrale SMR d’Ouzbékistan. Plus tard, la bride de la cuve du type RITM-200N sera fabriquée à partir de cette barre. La centrale nucléaire se composera de six petits réacteurs modulaires (SMR) terrestres de ce type.

L’Américain Dow, spécialisé dans les produits technologiques, notamment chimiques, et le développeur de réacteurs X-energy ont déposé auprès de l’autorité de sûreté nucléaire américaine (NRC) une demande de permis de construire pour un projet de centrale nucléaire sur le complexe industriel de Seadrift, au Texas. La construction de quatre réacteurs Xe-100 à haute température refroidis par gaz est prévue, pour une production totale d’électricité de 320 MW.

Le 17 mars 2025, le Département américain de l’énergie (DOE) a approuvé le versement d’un prêt de près de 57 millions de dollars pour la remise en service de la centrale nucléaire de Palisades, dans le Michigan.

La société Rolls-Royce SMR a remporté l’appel d’offres de Great British Energy-Nuclear (GBE-N) pour la construction de petits réacteurs modulaires (SMR) en Grande-Bretagne. La prochaine génération de centrales nucléaires du pays sera ainsi développée et construite par une entreprise britannique.

L’entreprise d'ingénierie russe ZiO-Podolsk a construit le premier des réacteurs à eau sous pression RITM-400 destiné au brise-glace nucléaire le plus puissant au monde: le Rossiya. Le RITM-400 est une version développée et plus puissante du réacteur RITM-200, utilisé par la Russie dans les brise-glaces.

Un consortium dirigé par l’Institut coréen de recherche sur l’énergie atomique (Kaeri) s’est vu confier un contrat de 10 millions de dollars de l’Université du Missouri pour la conception et l’homologation du réacteur de recherche NextGen MURR.

La start-up sur la fusion Marvel Fusion, qui travaille sur une technologie de fusion destinée à la production d’électricité et basée sur des lasers, a obtenu 52 millions d’euros supplémentaires dans le cadre de la seconde clôture de la ronde de financement de série B. Marvel Fusion devient ainsi l’entreprise de technologie de fusion européenne la plus largement financée.

À Houston (États-Unis) des entreprises leader telles que Google, Amazon, Meta et Dow, se sont réunies au sein d’une coalition internationale. Dans une déclaration commune, elles s’engagent à soutenir le triplement, au moins, de la capacité nucléaire mondiale d’ici à 2050.